Mademoiselle Belith

     Blanche-Neige, le conte de fées revisité : cruel, savoureux et tout en séduction.

Rappelez-vous l'innocente et belle princesse, la méchante reine impardonnable, le valeureux prince, la pomme empoisonnée et le baiser d'amour sincère...

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                                                                             6/10 

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Pour commencer, Blanche Neige n'est pas forcément mon conte préféré, mais j'étais attiré par cette réécriture. La couverture est magnifique, et c'est un peu la série que beaucoup de monde lit en ce moment. Du coup, quand j'ai vu que ma chère Kassandra prévoyait de le lire sous peu, et que c'était la même chose pour moi, et bien, j'ai fait ma petite demande de LC, qu'elle a accepté. J'ai donc attendu patiemment qu'elle finisse sa lecture en cours, et puis zou, je l'ai commencé !

Au début, j'étais vraiment enthousiaste et j'ai adoré le personnage de la Reine. Et puis au fur et à mesure que je tournais les pages de ma liseuse, je sentais comme un malaise s'installer en moi. Et puis au bout d'un moment, j'ai eu un gros truc *WTF, mais ce quoi ce bordel* dans ma tête. Cette réécriture de Blanche Neige n'est pas pour moi une véritable réécriture du conte, mais un énorme mélange de toutes les dernières versions du conte qui sont passé ces dernières années, comme par exemple Blanche Neige et le Chasseur (je voyais tellement bien la Reine de ce film dans le roman, comme une retranscription telle quelle de Charlize Steron) ou bien le conte de Once Upon A Time. Je regarde la série de temps en temps, et comment dire, cette réécriture de Blanche Neige pourrait très bien avoir sa place dans la série, car comme dans la série, tout est lié avec d'autre conte. J'ai eu un gros WTF devant le lutin Aladin (Kassoo aussi x) ) ou bien devant le conte d'Hansel & Gretel qui se glisse doucement entre certaines pages. Et puis notre Blanche Neige, qui est à mille lieux de celle que l'on connait : elle tiens mieux l'alcool que son prince, se baigne nue, et monte des étalons. Rien que ça ^^

Bref, ce n'est pas ma seule déception. Une autre, immense, auquel je ne m'attendais pas du tout et qui m'a un peu rebuté : le sexe. Et oui, dans cette version, une poudrée de sexe a été glissé dans les pages. Notre Blanche Neige n'est pas si innocente qu'elle peut le paraître. Taratata ! Je ne m'y attendais pas, et je n'ai pas l'habitude de lire des romans où le sexe est présent (oui je suis une jeune fille de 18 ans encore assez prude sur certains bords ^^), du coup j'ai fait glouuuuups à certains passage.

Mais sinon, même si je n'ai pas vraiment apprécié ce roman, il y a une chose que je ne peux pas reprocher à ce roman : la plume de l'auteure. Elle est superbe, tout est parfaitement bien écris, et on s'imagine extrêmement bien  ce qu'il se passe ou les scènes décrites. Et rien que pour ça, je lirais le tome 2, qui raconte un de mes contes préférés : cendrillon ! ♥

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Citations :

"Un voeu n'est rien d'autre qu'une malédiction déguisée. "

" Elle tenait cette beauté de sa mère, et c’était sans doute ce qui les avait sauvées toutes deux du bûcher lorsque le roi avait découvert que son épouse était une vipère glissée dans sa couche. Et lorsqu’il avait appris la vérité au sujet de l’arrière-grand-mère de Lilith, la vieille chouette dans sa maison de pain d’épices au fond des bois – là même où Lilith avait passé son enfance à apprendre l’art sacré en jouant avec les os des enfants perdus."

      Sous son écharpe élimée et ses lunettes de myope, Ophélie cache des dons singuliers : elle peut lire le passé des objets et traverser les miroirs. Elle vit paisiblement sur l'Arche d'Anima quand on la fiance à Thorn, du puissant clan des Dragons. La jeune fille doit quitter sa famille et le suivre à la Citacielle, capitale flottante du Pôle. À quelle fin a-t-elle été choisie ? Pourquoi doit-elle dissimuler sa véritable identité ? Sans le savoir, Ophélie devient le jouet d'un complot mortel.

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                                                                             9,5/10   

                                                                            coup de ♥

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Alors ce livre, oh mon dieu ! Comment dire, je l'ai plus que dévoré. Je n'ai pas vu passer les 528 pages. Mais vraiment. Quand je le lisais, j'ai du lire jusqu'à 2 ou 3h du mat, alors que j'avais du commencer à lire vers 22h (cest comme ça que j'ai débloqué plusieurs succès Reading Life sur ma Kobo ^^). Donc voilà, ce livre, c'est un énorme coup de coeur pour moi ! ♥

Tout d'abord, la couverture m'a énormément attiré, dès le départ. Je la trouve tout simplement sublime. Elle ne plait pas à tout le monde, mais pour moi, c'est un véritable coup de foudre rien que pour la couverture.le résumé en plus m'a énormément attiré aussi. J'étais vraiment intrigué et je voulais absolument le lire. Et dès les premières pages, c'est de nouveau un coup de foudre. Je suis tombée amoureuse de la plume de l'auteure, d'Ophélie, de son écharpe, de son petit courage et de son caractère que l'on découvre au fil des pages. Je suis tombée amoureuse de Thorn, cet espèce de géant froid et sauvage, que j'imaginais de façon démesurée. Halala, ce livre, je pourrais en parler pendant des heures !

L'univers dans lequel nous entraîne l'auteure est complètement différent de tout ce que nous pouvons connaître. Il est assez complexe, immense même, mais l'auteure nous guide pas à pas, nous délivrant des informations importantes avant même que l'on est pu se dire : tiens, qu'est ce donc que ça ?. C'est vrai que parfois, on ne sait pas trop ce que sont réellement certaines choses et que l'auteure attends avant de nous donner l'information, mais ce n'est pas vraiment gênant. Cela renforce le mystère, tout simplement. Le début peut paraître étrange, la suite aussi, mais au fur et à mesure, tout prends sens. Quand Ophélie arrive à la Citacielle (la merveilleuse cité que l'on peut voir sur la couverture du roman), on découvre en même temps qu'elle cette autre face de l'univers de l'auteure. On y découvre Thorn plus profondément, et c'est vraiment là que j'ai craqué pour ce personnage si froid.

Car oui Thorn, je l'aime. Ce personnage si froid, si glacial, qui ne ressemble en rien à un humain niveau sentiment a su me toucher, peu à peu. Je me l'imaginais comme un Albator immense, blond, les cheveux cours, emmitouflé dans des couvertures au lieu de sa cape, maigrichon et froid. Et peu à peu, on le voit changer, évoluer, devenir peu à peu humain devant Ophélie. Et je me refuse à croire que la fin du volume est la réalité, que mon petit Thorn n'est pas ça. Car oui, la fin, m'a littéralement fait tombé par terre. En un seul chapitre, l'auteure fait un revirement de situation comme j'en ai peu vu. Et je n'y crois pas, je me refuse à y croire. Je pense que c'est qu'une énorme machination, je me sens profondément trahie, comme Ophélie. Mais voilà, je veux la suite. Je l'attends avec impatience même. Car je veux savoir la suite, je veux savoir ce qu'il va se passer, que va t'il arriver à nos petits fiancés.

Quoique vous fassiez, vous ne pourrez pas deviner la fin, jamais, à mois d'aller la lire vous même avant la fin du livre x) Chose que je vous déconseille fortement.

Les Fiancés de l'hiver et un coup de coeur monstre, énorme, qui m'a plu énormément. C'est un livre que je vous conseille fortement, alors foncez ! 

PS : je pense très fortement à toi Emme, de Galaxy of books and tea. Lis ce livre cet hiver, blottis sous la couette ou une couverture, un thé à la mains, tu ne sera pas déçue (enfin je l'espère ! ). ♥

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Citations :

" Passer les miroirs, ça demande de s'affronter soi-même, avait dit le grand-oncle. Ceux qui se voilent la face, ceux qui se mentent à eux-mêmes, ceux qui se voient mieux qu'ils sont, ils pourront jamais. "

" — J’ai tué un homme.

Il avait jeté cela d’un ton nonchalant, comme une banalité, entre deux lampées de soupe. Les lunettes d’Ophélie blêmirent. A côté d’elle, la tante Roseline s’étrangla, au bord de la syncope. Berenilde reposa sa coupe de vin d’un geste calme sur la nappe de dentelle.

— Où ? Quand ?

Ophélie, elle, aurait demandé : « Qui ? Pourquoi ? »

— A l’aérogare, avant que je n’embarque pour Anima, répondit Thorn d’une voix posée. Un disgracié qu’un individu mal intentionné m’a dépêché aux trousses. J’ai quelque peu précipité mon voyage en conséquence.

— Tu as bien fait.

Ophélie se crispa sur sa chaise. Comment donc, c’était tout ? 

« Tu es un assassin, parfait, passe-moi le sel… »"

        Bien plus puissante qu’une simple sorcière, Sophie a appris qu’elle est en réalité un démon, comme son père et sa grand-mère. Pour supprimer ce

maléfice, elle décide de subir le Rituel. Son père essaie de l’en dissuader et la persuade de passer l’été à Londres, à Thorne Abbey, magnifique résidence d’où il dirige le Conseil. Sophie y rencontre d’autres adolescents mi-humains mi-démons, comme elle. La présence d’Archer, détenu au Conseil, complique la situation : même s’il l’a trahie, elle l’aime toujours. Lorsqu’il la sauve de la menace de L’Occhio di Dio, la secte qui poursuit les siens depuis des siècles, Sophie est déchirée entre la loyauté envers son père et le Conseil et son amour pour Archer, leur ennemi absolu…

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                                                                             8/10   

                                                                                   

                                                                            --  ∞ --

Etant donné que le résumé vous a sans doute pas mal spoilé, je ne vais pas trop vous cachez certaines choses :/

Hex Hall le retour 0/

Ce second tome, comme le tout premier, est frais, remplis de jeunesse, et on se laisse porter sans s'en rendre compte. Sophie, fidèle a elle même, nous fais rire encore plus d'une fois dans ce volume. Elle est toujours aussi drôle, sarcastique, pétillante, et ... zut je n'ai plus le mot !

Bref, dans ce second tome, notre petite démone (oui oui, c'est dans le résumé, alors bon, je peux le dire) va chez papa démon rencontrer d'autre démon ! Dis comme ça, ça fait un bien drôle de résumé. La vérité, c'est qu'avec Jenna et Cal, Sophie quitte les USA pour l'Angleterre pour passer l'été avec son père. Là, elle y rencontrent les autres membres du conseil et un nombre hallucinants de pièces. La suite, surprise surprise.

Je crois que j'ai plus apprécié ce tome que le premier, car il me semble plus approfondis, comparé au premier qui faisait plus foire au monstre version internat. J'ai aimé voir Sophie dompter ses pouvoirs, construire une relation avec son père, dont elle se découvre plusieurs points communs, puis ne plus savoir quoi faire avec Archer, car oui, notre beau Archer reviens en force dans ce tome, alors que notre mini démone apprends à découvrir Cal (à vous de découvrir le lien qui unis ces deux là, moi j'en suis tombée par terre quand je l'ai appris ^^). Le léger triangle amoureux qui se dessine est aussi très agréable, et je n'ai pas réussis à savoir qui des deux amoureux lequel était mon chouchou, car ils sont tous les deux très différents, et on les aimes pour de multiples raisons.

Mais je suis dans une mauvaise position, je ne peux pas vous dire grand chose de plus, étant donné que je risque de vous spoil magistralement. Car dans Hex Hall, tout va vite, très vite. Le livre n'est pas bien gros, mais pourtant, il s'en passe des choses dedans. Ce qui fait qu'on est aussi avide de savoir la suite, même si c'est de la pure jeunesse. Du coup, on oublie que c'est de la jeunesse, que ce n'est peut-être plus un genre que l'on lit énormément, et on redeviens de tout jeunes adolescents. Et cela avec un énorme sourire sur les lèvres.

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Citations :

"Quand j'ai ouvert la porte, mon père a réagi comme tous les Anglais quand ils son effrayés; il a bu une gorgée de thé."

"Mon père me faisait l'effet d'être tout droit sorti d'un roman de Jane Austen. J'étais étonnée qu'une femme à l'esprit aussi pratique que ma mère ait pu tomber amoureuse de lui. Naturellement, je n'avais jamais imaginé non plus que je craquerais pour un beau garçon tueur de prodigium."

"- Ton dossier est impressionnant, Sophia, a-t-il déclaré. Si Hécate proposait des cours de chaos, tu serais sûrement première de classe.

       Tris et ses alliés ont réussi à renverser les Érudits. Les sans-faction mettent alors en place une dictature, imposant à tous la disparition des factions. Plutôt que de se plier à ce nouveau pouvoir totalitaire, Tris, Tobias et leurs amis choisissent de s'échapper. Le monde qu'ils découvrent au-delà de la Clôture ne correspond en rien à ce qu'on leur a dit. Ils apprennent ainsi que leur ville, Chicago, fait partie d'une expérience censée sauver l'humanité contre sa propre dégénérescence. Mais l'humanité peut-elle être sauvée contre elle-même ?

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                                                                             9/10   

                                                                                   

                                                                            --  ∞ --

Cette chronique peut être source de spoils, alors attention !

Enfin, je referme Divergente 3, et je ne sais pas trop quoi dire au final. C'est finis, il n'y aura plus désormais la suite des aventures de Tris, Quatre et ainsi de suite. Finis de chez finis. J'ai ressentis la même chose que quand j'ai finis le dernier tome de Harry Potter. Il n'y aura sans doute jamais de suite, et comment dire, ça fait un petit choc au coeur.

Au début de ce tome, j'étais très enthousiaste, mais vraiment. J'ai littéralement adoré tout le livre, vraiment. Le fait qu'ils sortent tous de la ville et que l'univers dystopique gagne en ampleur m'a tout de suite séduite, et j'ai même bien ris devant leur ignorance parfois, même si je me suis parfaitement mis à leur place, et je crois que pour moi cela aurait était un énorme choc si du jour au lendemain, bam, on m'annonce que tout ce en quoi je croyais n'était pas la réalité, qu'il y avait un but derrière, et ainsi de suite. Je ne peux pas dire grand chose sous menace de vous balancer THE spoil de l'univers. Mais voilà.

Les personnages ont grandis, on en apprend plus sur la Divergence, qu'est ce que c'est réellement, quel est le but de la ville, pourquoi les gens devaient sortir à un moment et non à un autre, ce qu'il y a en dehors des clotures, ainsi quel pouvoir peut avoir la connaissance et jusqu'où sommes nous prêt à faire des sacrifices pour le bien d'autrui. Mais après tout qu'est-ce qu'un sacrifice réellement ? Je crois que l'auteure nous en donne une plutôt bonne définition à la fin de son roman.

Tris et Quatre sont extrêmement changés dans ce tome là, et plusieurs fois j'ai eu envie d'hurler, de jeter ma liseuse à l'autre bout de la pièce, à maudire l'auteure. Car oui je lui en veux. Vraiment. Elle torture ses personnages, et je trouve ça trop cruel. Certains méritent amplement ce qui leur arrive, mais d'autre non. Vraiment pas.

La fin du bouquin est une claque, magistrale. Je ne m'attendais pas à ça , mais vraiment pas. En deux pages elle change complètement l'histoire, et au début,j'ai cru que c'était une blague de l'auteure, une farce de mauvais goût ou je ne sais quoi. Ou bien que je n'avais pas compris. Mais non, c'était bien ça. Ceux qui ont lu le livre savent de quoi je parle. Je dois dire que ça m'a un peu déçue, et même gâchée ma lecture, ce qui fait que ce tome ne sera pas un coup de coeur pour moi. :/

Et vous, que pensez-vous de ce tome ? Il vous a plût ou plutôt déçus ?
Moi en tout cas, je vous le RECOMMANDE si vous ne l'avez pas encore lu :)

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Citations :

" Les Érudits qui choisissent les Audacieux deviennent souvent cruels et brutaux.

Les Sincères qui choisissent les Audacieux, eux, deviennent turbulents, combattants et accros à l'adrénaline.

Alors que les Altruistes qui choisissent les Audacieux deviennent... Je ne sais pas. Des soldats, je suppose. Des révolutionnaires. "

" Je prends une grande inspiration. Je ne sais pas d'où vient cette boule de désespoir, mais maintenant que je l'ai reconnu il m'est impossible de l'ignorer, comme une chose vivante qui se serait réveillée d'un long sommeil à l'intérieur de moi. Elle se tord dans mon estomac et dans ma gorge. J'ai besoin de partir. J'ai besoin de la vérité. "

" C'est stupide de manquer d'une chose quand il y a tellement de personnes qui vous manque à la place, mais je m'ennuie déjà de ce train, et de tous les autres qui m'ont emmenée à travers la ville, ma ville, après que j'ai été assez courageuse pour y monter. Je frôle la paroi de la cabine avec mes doigts, juste une fois, et puis je saute. "